Fashion
Laulhère présente sa collection de bérets automne/hiver 2016/17
La maison Laulhère vient de présenter sa nouvelle collection automne-hiver 2016/2017. Mélange d’authenticité et de style parisien, les bérets 100% français de cette fabrique centenaire démontrent qu’on peut être branché et traditionnel à la fois.
Si vous demandez à un touriste ce qui caractérise le mieux la France, il vous répondra probablement : la Tour Eiffel, la baguette de pain, la 2cv, le béret, le vin et les fromages. Un pays romantique où la mode s’associe à la bonne bouffe et un territoire côtier impressionnant. La mode, c’est aussi le béret, qui revient en force sur les podiums.
La maison Laudhère, implantée depuis plus de 100 ans dans la commune d’Oloron-Sainte-Marie, département des Pyrénées Atlantiques, fabrique des bérets depuis 1840. Leur matière première : la pure laine vierge mérinos. Des premiers bérets confectionnés en 1792 et aujourd’hui la dernière fabrique de cet accessoire si français implantée dans l’hexagone.
Contrairement aux idées reçues, le béret ne provient pas du Pays Basque mais puise ses origines au cœur des Pyrénées, dans le milieu pastoral du Béarn. Les bergers de la région furent les premiers à l’avoir tricoté avec la laine de leurs bêtes puis feutré dans l’eau des gaves. L’appellation du « béret basque » viendrait de Napoléon III, qui séjournant souvent à Biarritz et interpellé par ce petit couvre‑chef, lui aurait donné ce nom. Au-delà des premiers adeptes basco-béarnais, désireux de conserver un lien avec la région et ses coutumes, le béret deviendra vite identitaire et dépassera ainsi toutes les frontières.
Unique, le béret incarne à lui seul un fort sentiment d’appartenance. Mais pas que, il traduit une vraie philosophie de vie, à la fois libre et en perpétuel renouveau. Puisant sa force et son essence dans ses origines pastorales, il symbolise à la fois le dynamisme, l’originalité et la vitalité.
Digne représentant du non-conformisme, il coiffe à la fois les gens libres, paysans, artistes, personnalités ou parfaits inconnus.
À travers les âges, Le Che en fera un emblème de révolution, Picasso lui insufflera un air de nouveau, le réalisateur et scénariste Fellini lui confèrera modernité et singularité puis les années 60, bercées par la musique pop, feront de lui un nouveau must-have porté par Marlène Dietrich, Brigitte Bardot, la Princesse de Monaco ou encore Thelonious Monk…
Version 21ème siècle, le béret séduit encore et toujours. Anne Hathaway, Jamie Dornan, ou encore Lily‑Rose Depp succombent à son irrésistible charme. Matières-premières, la maîtrise des teintures, les procédés traditionnels et les interventions de l’homme à chaque étape de la fabrication, entièrement réalisée au cœur des ateliers, en font également un produit noble. Deux journées entières de travail, des ajustements, des vérifications constantes font de chaque article une pièce unique.
Telle une constellation d’étoiles, la collection Laulhère Automne/Hiver 2016-2017 nous offre des créations puisant dans des étoffes lumineuses et luxueuses. Une ode au raffinement, au mix&match
des matières révélant une tenue classique ou plus excentrique.
Un savoir-faire à son apogée qui ose détourner les codes intrinsèques du béret pour lui conférer toutes ses lettres de noblesse. Sublimé, transcendé, il s’acoquine de toutes les audaces pour affirmer sa présence.
Du catwalk au dressing éclectique féminin ou masculin, il impose une touche mode singulière et fantaisiste, sans jamais délaisser son authenticité. Par essence, la collection puise dans son héritage pour nous livrer un hymne à l’amour rempli de joie, d’authenticité, de passion et de liberté.
Tout un symbole et bien plus encore qui nous transporte en plein Paris, au cœur d’une mode bouillonnante et sans cesse en effervescence. Du cuir, de la laine, des matières nobles et une touche quelque peu transgressive…
Comme pour irradier le dance floor, une pluie de sequins s’empare de quelques pièces en laine feutrée mérinos, tulle et touches de cuir. Rétro, disco, incandescent, effets mats tantôt shiny…
Electre, Australe ou Luna irradient de beauté. La tendance officier revient inlassablement, signe d’un patriotisme certain, d’un revival incessant d’uniformes, capes ou galons de soie…
Orion s’inspire ainsi du traditionnel béret commando ; Terra s’offre un velours d’une extrême finesse, rehaussé d’une broche en métal patiné. Tweed rebrodé de sequins ou de laine laquée insuffle sans cesse cette touche contrastée, sans oublier l’esprit vintage délicieusement frenchy avec l’éternelle coupe gavroche ou inspirée du vrai Chasseur Alpin.
Si le tweed laineux, en référence aux contrées lointaines, vient s’éprendre d’une chapka nommée Capella, les influences punk & masculin/féminin nous entrainent dans un tourbillon d’effets de genre, offrant à l’homme moderne toutes les audaces en matière de styles.
Vinyle et perles en verre s’emparent ainsi de Mercure ou Vega. Preuve d’une sophistication suprême, Venesia se pare d’une voilette délicate…
Fil de soie, lurex et autres déclinaisons subtiles se révèlent dans un jeu de broderies et coloris miroitants, pour un périple aux confins de la galaxie ou dans l’hémisphère nord à la naissance d’une aurore boréale…
Pour découvrir les bérets Laulhère, cliquez directement sur ce lien. Ci-dessous, notre galerie d’images vous fera découvrir cette nouvelle collection automne-hiver 2016/2017, basée sur le chic à la française et à la parisienne.
Pour acheter un béret Laulhère, toutes les bonnes chapelleries distribuent les produits de la marque. Si vous ne les trouvez pas, rendez-vous sur ce lien pour commander le modèle qui vous plaira auprès des revendeurs en ligne de la fabrique. Pour les tarifs, comptez de 42 à 70 euros le béret.
Notre galerie d’images bérets Laulhère
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Crédit photo : Laulhère©
Fondateur du site MONSIEUR VINTAGE le 14 février 2014, Philippe est issu de la presse écrite automobile : Auto Plus, Sport Auto, Auto Journal, Décision Auto, La Revue Automobile et La Centrale. Il collabore également au magazine EDGAR comme responsable de la rubrique auto/moto.
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