Song of the day
La chanson du jour : "Someone Somewhere (in Summertime)" par Simple Minds
Premier morceau de New-Wave chez Monsieur Vintage : « Someone Somewhere (in Summertime) » a été écrit par Charlie Burchill, guitariste et co-fondateur du groupe Rock/New-Wave en 1977 avec Jim Kerr (chanteur du groupe).
C’est Carine C. qui nous l’a conseillé, un morceau où la voix grave et les guitares aigues se mélangent, sur une rythmique issue du disco, le tout devant une foule immense ça sent bon les méga-concerts des années 80.
Le morceau est tiré de l’album « New gold dream » sorti en novembre 1982, pour les « clubbers », sachez qu’il a été samplé par David Guetta sur son morceau « The world is mine ». Nous, on préfère nettement la version originale, à écouter bien fort.
Le saviez-vous ? Le nom du groupe écossais « Simple Minds » est tiré des paroles d’une chanson de David Bowie ; « The jean Genie ». Bonne journée à toutes et à tous. Et merci à Carine..
N’oubliez pas que vous pouvez désormais écouter toutes les chansons du jour avec la « Playlist Monsieur Vintage » disponible dès que vous cliquez sur le morceau ci-dessous. En lecture automatique ou aléatoire, vous pouvez écouter une centaine de morceaux des années 60 à 90, de pures pépites, en travaillant, faisant « la casa toujou’ pimpante » ou en soirée avec des amis.
Crédit photo : Sven Mandel© Wikimedia

Fondateur du site MONSIEUR VINTAGE le 14 février 2014, Philippe est issu de la presse écrite automobile : Auto Plus, Sport Auto, Auto Journal, Décision Auto, La Revue Automobile et La Centrale. Il collabore également au magazine EDGAR comme responsable de la rubrique auto/moto.
Song of the day
La chanson du jour : "No woman no cry" par Bob Marley
Réveil cool ce matin avec « No woman no cry » de Bob Marley. Créditée à son ami Vincent Ford pour des raisons de droits, la chanson est tirée de l’album « Natty dread » sorti en 1974. Un morceau qui contrairement à ce que pensent beaucoup de gens signifie « femme ne pleure pas » et non pas « pas de femme pas de larme ».
Ecrite par Bob Marley, elle raconte un passage de sa sa vie où il vivait avec ses copines et copains dans le ghetto de Trenchtown. Bonne journée à toutes et à tous.
Crédit photo Wikimedia

Fondateur du site MONSIEUR VINTAGE le 14 février 2014, Philippe est issu de la presse écrite automobile : Auto Plus, Sport Auto, Auto Journal, Décision Auto, La Revue Automobile et La Centrale. Il collabore également au magazine EDGAR comme responsable de la rubrique auto/moto.
Musique
16 août 1977 : Elvis Presley nous quittait. C'est la chanson du jour
Cela fait 37 ans que le « KING » nous a quittés, c’était le 16 août 1977 à Memphis dans le Tennessee. Il avait alors 42 ans. Né le 8 janvier 1935 à Tupelo dans le Mississippi, Elvis Aaron Presley est fils unique. Il est élevé dans une famille modeste et religieuse. Sa première guitare lui fût offerte par ses parents à l’âge de 11 ans, le petit Elvis s’intéresse au Blues qu’il écoute à la radio, il gratouille, puis un jour de l’été 1953 alors qu’il n’a que 18 ans, il pousse la porte des studios Sun Records, à Memphis où ses parents déménageaient 5 ans plus tôt.
Dans la vie il y a 2 sortes de portes et de personnes. Celles qu’on regrette d’avoir poussées ou rencontrées, et d’autres qui ont changé notre vie. La porte des studios « Sun » faisait partie de la seconde catégorie, elle allait dévoiler au monde le précurseur du Rock’n’roll, « un blanc à la sensibilité noire » : tout ce que recherchait alors Sam Phillips, le patron de « Sun Records ».
Elvis repart du studio avec un 45 tours sur lequel sont gravés 2 morceaux. Il l’offrira à sa mère. Tenace et déterminé il reviendra à l’attaque plusieurs fois dans le studio de Sam Phillips, pas totalement convaincu alors du talent d’Elvis. Jusqu’au jour où accompagné des musiciens Scotty Moore à la guitare et Bill Blach à la contrebasse, il interprète un dernier morceau avant que le studio ne ferme, devant Sam Phillips décidément toujours peu convaincu. Le choix de ce morceau détermina tout ce qui allait suivre pour la vie de celui qui allait devenir « The KING ».
La chanson qu’Elvis Presley décida d’interpréter ce jour là était « That’s all right mama » du chanteur Arthur Crudup, qui l’avait composée et enregistrée en septembre 1946. Sam Phillips en resta pantois. Ce dernier n’avait jamais entendu un Blues interprété de cette façon la ! Presley l’avait transformé en Rock’n’roll et se l’était totalement approprié. Une tournée dans le sud des Etats-Unis est lancée, avec les mêmes musiciens auxquels le batteur D.J Fontana s’est ajouté pour la batterie.
La suite on la connait ; Elvis devient « The pelvis » en raison de son déhanché provocant qui incite certains parents à interdire ses concerts à leurs enfants, voire même à brûler ses disques, les tournées s’enchaînent, les concerts (1 156 dans sa carrière dont 525 dans la seule ville de Las Vegas) et les albums (67 LP enregistrés en studio).
Elvis Presley est devenu et demeure le plus gros vendeur de disques au monde : 700 millions d’unités se sont écoulées de son vivant, le score est monté à plus d’un milliard après son décès. Il a tourné dans 31 films et détient le record de téléspectateurs à un concert avec son show de Hawaï, qui fût retransmis par satellite dans 54 pays : 1 milliard et demi de fans ont regardé ce spectacle, répartis sur la planète !
le « KING » n’a été marié qu’une seule fois, c’était à Priscilla Ann Beaulieu, avec qui il a eu une fille prénommée Lisa Marie et née le 1er février 1968. C’est elle qui, désormais, gère la fortune de son père.
La mort d’Elvis Presley présente quelques similitudes avec celle de Michael Jackson. Comme le roi de la Pop, the « KING » consommait beaucoup de médicaments. Le soir précédant sa mort, il est allé voir son dentiste avec qui il avait un rendez-vous à 22.30. Celui-ci lui aurait donné une surdose d’anti-douleurs. Le lendemain, Elvis décédait. Il pesait alors 102 kg pour 1m83 (ce qui n’était pas non plus totalement délirant, contrairement à ce qui a été dit après son décès), le plus surprenant est que l’autopsie annonça 14 médicaments différents dans le sang de l’artiste !
Une fin à la hauteur du personnage, démesurée. Afin de rendre hommage à cette immense star du Rock’n’roll, nous avons décidé ce matin de vous diffuser la version originale de la reprise qui permit à Elvis de devenir le « KING » : « That’s all right mama », datant de 1954. Elvis Presley aurait eu 79 ans.
Crédit photo Wikimedia

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Song of the day
La chanson du jour : "Jigsaw Puzzle" – The Rolling Stones
Une première entrée pour les Rolling Stones dans la playlist de Monsieur Vintage ! Nous avions laissé de côté ce groupe mythique, mais il est temps de lui accorder enfin une place de choix dans notre sélection musicale en vous faisant découvrir notre piste préférée d’un de leurs meilleurs albums : Beggars Banquet
Sorti en 1968, ce disque marqua un retour aux sources pour les Stones, qui livrèrent une galette très rock’n’roll après quelques déviations dans le rock psychédélique, audibles notamment sur l’album Their Satanic Majesties Request de 1967. Ce retour aux sources fut salvateur à tous les points de vue, d’abord les critiques furent dithyrambiques, se substituant aux réserves qui accueillirent le précédent disque, ensuite le succès commercial fut de la partie puisque Beggars Banquet se plaça respectivement n°3 et 5 des chars au Royaume-Uni et aux USA.
Ce retour aux racines rock du groupe ne se fit pas comme un simple retour en arrière, les Rolling Stones creusèrent vraiment leurs compositions pour proposer des morceaux plus longs, plus étoffés et généreux que précédemment. En témoignent les 6 minutes du morceau de ce matin, sans oublier bien sûr la présence sur l’opus du mythique Sympathy For The Devil, véritable hymne du groupe en live, autant férocement rock que rythmiquement ethnique avec ses percussions endiablées et ses riffs de guitare tonitruants. On trouve également le génial Stray Cat Blues et son rythme entraînant ainsi que l’archi-connu Street Fighting Man.
Pas de doute, les Stones frappèrent fort avec Beggars Banquet. L’album ouvrit d’ailleurs la voie à ce qui allait devenir la meilleure période du groupe, voyez un peu, après cet album suivirent Let It Bleed (Midnight Rambler, You Can’t Always Get What You Want), Sticky Fingers (Brown Sugar et Wild Horses en morceaux phares) et à la suite de ces deux albums cultes, les Stones vinrent achever la planète avec le monstre, le culte, le mythique, le génial, l’incroyable, l’homérique et dantesque double-album Exile On Main Street, véritable oeuvre rock’n’roll inépuisable et qui semble changer à chaque écoute.
Retour à notre chanson du jour : Jigsaw Puzzle. Sans pitié, la piste démarre sur une batterie énervée accompagnée d’une guitare slide lancinante. Le calme revient au bout de quelques secondes, la batterie se fait plus traînante, la voix de Mick Jagger vient se poser avec un flegme britannique sur le mix. Puis la guitare slide fait son retour, traînant la patte, un piano souligne les couplets sur le canal droit, tandis que la basse monte dans les tours en venant enrober les notes d’une chaleur fondante. Le piano bientôt s’excite, tandis que les cris en échos des guitares slidées de Keith Richards résonnent en stéréo. Le piano induit un rythme nouveau en transparence après 3 minutes, puis les refrains font leur retour avec des notes esseulées qui s’égrènent dans un solo sans frontières. En fait, le morceau ne s’arrête jamais, emmenant les tympans dans un tourbillon rugissant qui sait hypnotiser l’oreille à force de répétitions groovy de son rythme bien calé. Jagger ne hausse jamais le ton, laissant les guitares répondre au piano en des phrases de haute fréquence qui se perdent dans les vallons de l’ouïe. Un fade-out précoce vient annoncer la fin de la piste, et nous on vous laisse commencer votre journée avec le sourire aux lèvres !
Crédit photo Wikimedia©

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