Motors
Essai de la Ford Mustang GT cabriolet 2018 : de mieux en mieux
Ford a restylé sa 6ème génération de Mustang pour l’année 2018. Un modèle commercialisé en Europe depuis l’été 2015 et qui rencontre un franc succès sur le vieux continent depuis maintenant 3 ans. Nous avons essayé cette nouvelle mouture en version cabriolet et équipée du moteur V8 qui développe désormais 450 chevaux. Un périple qui nous a amené au centre équestre d’Argens, dans le Calvados. Normal pour une Mustang..
Une légende de 54 ans
La Ford Mustang est une légende roulante et de nombreux fabricants aimeraient posséder un véhicule qui renvoie une telle aura. Commercialisée le 17 avril 1964, l’unique Ford à ne pas arborer le losange de la marque (seul le cheval apparaît sur la calandre et les jantes, mais également pour ceux qui ont une excellente vue sous les feux avant, incrusté dans le verre) s’est vendue à 9,6 millions d’exemplaires en 54 ans.
Le coupé sportif le plus vendu au monde
Depuis janvier 2015, il s’est vendu 418 000 unités de la Ford Mustang autour du globe, dont 35 000 en Europe, ce qui en fait le coupé sportif le plus vendu au monde, pour la troisième année consécutive.
Cette légende, nous l’avions essayée en juin 2016 dans sa version cabriolet V8 en boîte automatique et en mai 2017, en version Fastback V8 boîte auto également. Nous voulions donc constater par nous-mêmes les changements apportés par Ford sur la version restylée de 2018.
Quoi de neuf ?
Mais alors, qu’a-t-elle de nouveau cette Mustang restylée ? Globalement et au premier coup d’œil, les différences ne sont pas frappantes. La ligne générale (on ne change pas un design qui gagne) est la même et les nouveautés se situent au niveau de la face avant, du capot, de l’arrière, de l’échappement, du moteur, de la boîte de vitesse et de l’instrumentation.
La face avant
La calandre devient plus large et le nouveau bouclier a comme des allures de trident, vu de haut. Une pointe agressive qui laisse penser que la voiture va tout balayer, ou aspirer, sur la route. Les feux se sont légèrement plissés et l’éclairage passe en Full LED. Les deux petits-feux ronds qui étaient placés sous les phares avant, sur le modèle 2017, disparaissent.
Le capot
Le bosselage du capot avant disparaît sur cette nouveauté 2018. Un coup de rabot qui permet de mieux voir la route depuis le poste de conduite et qui laisse la place à deux extracteurs d’air, en nids d’abeilles.
L’arrière
Ford a remplacé l’ancien diffuseur d’air par un nouveau plus discret. Ce dernier entoure toujours le feu antibrouillard arrière. Le pare-chocs a également été remplacé. Les feux arrière sont redessinés et deviennent 100% Full LED.
L’échappement
Histoire de marquer encore un peu plus le côté bestial, sportif et muscle-car de la bête, Ford a remplacé les deux pots d’échappement installés sur la version 2017 par une sortie 2×2 pots chromés à l’arrière. L’échappement, dont le borborygme devient réglable avec cette livrée 2018 puisqu’il est désormais possible de le régler, à partir du mustang situé à droite du volant. La sonorité peut être sélectionnée en mode silencieux, normal, sport et circuit (photo ci-dessous).
Le moteur
Le bloc V8 de la GT passe cette année de 421 à 450 chevaux. 29 équidés gagnés grâce à l’injection directe haute pression bi-carburant, qui permet désormais à la Mustang d’avaler le 0 à 100 km/h en 4,3s (autant qu’une Porsche 911 Carrera) contre 4,8s sur le modèle 2017. La vitesse de pointe reste la même, annoncée par le constructeur à 250 km/h (une donnée que nous n’avons pas cherché à vérifier sur route ouverte, évidemment).
La boîte de vitesse
La boîte de vitesses automatique passe cette année de 6 à 10 rapports. Un étagement plus long qui permet d’effacer le passage de vitesse trop rapide entre la 1ère et la 2ème constaté lors de notre essai de mai 2017, en raison d’une 1ère trop courte. À noter qu’en mode normal, cette nouvelle boîte manque un peu de réactivité mais elle devient beaucoup plus efficace une fois e mode « Sport » sélectionné.
L’instrumentation
Pour la nouvelle Ford Mustang 2018 ; exit les deux compteurs ronds à aiguille du modèle précédent, place au 100% numérique ! Les compteurs et modes affichés à l’écran derrière le volant sont numériques, avec des paramètres modifiables depuis l’écran couleurs de 12 pouces placés dans la console centrale.
Notre essai
Il est grand temps de monter à bord de cette nouvelle version de la Mustang, pour se rendre au centre équestre d’Argens, dans le Calvados, où elle retrouvera ses compères équidés.
Pour monter à bord, même petit défaut pour les grands gabarits supérieurs à 1m85 que la version précédente : la tête a tendance à toucher le plafonnier si le fauteuil conducteur reste réglé en position haute. Pour éviter ce désagrément, pensez à rabaisser la hauteur d’assise une fois sorti de la voiture, pour ensuite la remonter une fois que vous serez assis à l’intérieur. Un problème qui disparait également bien sûr, si vous montez dans l’auto décapotée.
Les fauteuils en cuir sont de bonne facture et la qualité d’assise est très bonne. On se cale rapidement dans les sièges en ajustant la ceinture, facilement préhensible pour un coupé 3 portes.
Le démarrage se fait à partir d’un simple bouton sur lequel il suffit de presser en appuyant le pied droit sur le frein. La clef de contact peut être rangée dans la console centrale pour cette opération, ou dans votre poche.
Position « silencieux » par défaut
Le borborygme du V8 est réglé par défaut en position « silencieux ». Une attention délicate de la part de Ford qui a pensé à vos voisins le matin ou la nuit, mais également parce qu’elle permet de moins consommer, à en croire sa désactivation dès que le réservoir passe en position « réserve ». Mais même en position « silencieux », l’échappement respire la puissance et le son propre au nautisme, sorte de « glou-glou » étouffé et gavé de puissance. En mode « Sport » ou « Circuit » là, les voisins commenceront à vous haïr pour les avoir réveillés, ou jalouser pour posséder un muscle-car, c’est selon, mais quoi qu’il en soit, le résultat est garanti. Même effet lorsque vous passerez en centre-ville et que, d’une simple pression de pied sur la pédale de droite, vous ferez rugir le V8 Ford. Vous l’aurez compris, la Ford Mustang n’est pas une voiture discrète. Ni par sa ligne, ni par le bruit de son moteur. Et c’est là que commence l’Amérique !
Pour écouter le son du V8 de notre modèle d’essai (Crédit audio : Alexis Pillon©) :
Une part de légende
Parce que la Mustang c’est d’abord une part de légende, américaine de surcroît. Lorsque Lee Iacocca (Directeur Général de Ford) décida de lancer ce modèle en 1964, pour concurrencer la Corvair de Chevrolet, il voulait une voiture jeune, abordable et excitante. Excitante (et abordable), elle l’est toujours, un effet qui passe par sa sonorité et son gabarit (4,78m de longueur sur 2m de large).
À bord : un large choix
À bord et comme sur la version précédente, la GT 2018 propose une pléthore de choix à partir du volant, de l’écran tactile, du système vocal SYNC 3 ou de la console centrale. Tant sur le choix des modes de conduite ; normal, sport, sport +, neige, drag race, que de l’éclairage modifiable, au compteur et dans la voiture, ou des informations diffusées via l’ordinateur de bord ; consommation, autonomie etc.
Ambiance aéronautique
Comme sur l’ancienne version, la console centrale est dotée de commutateurs à bascule issus de l’aéronautique. Une touche vintage et sportive que les puristes apprécieront.
Pour revenir aux différents modes de conduite, ceux que nous avons le plus utilisés durant notre essai sont le mode « normal » et « sport ». Le mode « drag race » (dragster) étant destiné au circuit (notamment au départ-arrêté), comme le mode « Sport+ » (qui rend la voiture très rigide et clouée au sol), nous les avons volontairement mis de côté.
0 à 100 km/h en 4,3s
L’accélération obtenue grâce au mode « drag race » permet tout de même à la voiture d’avaler le 0 à 100 km/h en seulement 4,3s, en boîte auto 10 vitesses soit 3 dixième de moins que sur la version équipée de la boîte manuelle à 6 rapports ! Un résultat obtenu grâce aux améliorations techniques apportées sur le gros V8 made in US.
Les différents modes de la Mustang GT modifient la réactivité de l’accélération, les points de passage de vitesses (sur notre version d’essai équipée d’une boîte auto), l’effort au volant, l’étalonnage de contrôle de stabilité et la suspension. À noter que chaque changement de mode entraîne une modification de l’aspect des compteurs.
Suspension adaptative en option
Une suspension qui se veut adaptative (en option à 2 000 euros), avec un système de calcul qui lui permet de s’ajuster des milliers de fois par seconde, pour offrir le niveau de confort et d’efficacité optimal en fonction de la qualité de la route.
Le mode normal
En mode normal et en conduite souple avec le régulateur de vitesse (adaptatif, c’est-à-dire qu’il freine ou accélère automatiquement en fonction de la vitesse du véhicule qui vous précède) enclenché, la Mustang GT se veut docile, moins rigide et très agréable. Sur autoroute, vous consommerez alors une moyenne de 12,5 litres aux 100 km parcourus, sans dépasser les limitations de vitesse. Capotée, la voiture est alors silencieuse et douce comme un agneau. Le V8 est à peine perceptible et si vous emmenez grand-père faire un tour, il aura l’impression d’être dans une voiture presque « normale », look à part.
Le mode sport
En mode sport, la GT se transforme. Il ne s’agit plus de la même voiture. La sonorité mue en un râle fait de furie, de puissance et d’explosion. Les suspensions vous font remonter les vibrations de la route, depuis le bas de la colonne vertébrale jusqu’en haut du crâne, l’accélération vous colle au fond du fauteuil en cuir et tous vos sens passent en mode « éveil ». Vous passez alors les vitesses grâce aux palettes situées sous le volant et dès lors, le temps de réponse de passage se veut beaucoup plus rapide.
Le mode sport est en quelque sorte la potion qui transforme Mister Hyde en Docteur Jekyll. Sauf que tout est sous contrôle, dans un déferlement de puissance qui confirme le côté sportif de la voiture, même si pour certains, la Mustang n’a jamais été une sportive.
Conseil de l’essayeur : en mode sport, roulez décapoté, ça n’en sera que plus jouissif.
Puissance et consommation
Mais pour l’avoir poussée dans certains retranchements, nous pouvons vous assurer que cette Mustang GT envoie du bois, même si elle n’a pas le châssis et la réactivité d’une « vraie » sportive. En « tartinant » vraiment la voiture, vous arriverez à une consommation de 30 litres aux 100 km, ce qui vous incitera à terme, à lever le pied et voir cette GT comme une furie à dorloter.
À noter que pour notre essai en mode urbain et sur position « normal », la GT a consommé une moyenne de 20 litres aux 100 km et que pour l’ensemble de notre essai, constitué de ville, autoroute et routes de campagne, nous avons consommé en moyenne 12,7 litres aux 100 km. Sur autoroute et avec le pied léger, la GT s’est contenté de 12 litres aux 100 km. La contenance de 61 litres du réservoir n’est donc pas de trop.
Détail à retenir : dès que vous passerez en réserve, le mode « sport » ne sera plus activable, l’ordinateur de bord jugeant la chose inappropriée.
Cheveux au vent
La capote de la Mustang est à l’ancienne, en toile doublée. Il conviendra par conséquent de prévoir un parking fermé afin de vous éviter la mauvaise surprise de la retrouver déchirée.
Pour l’ouvrir, comme pour la fermer, électriquement, il faut d’abord passer par une phase manuelle : déverrouiller la poignée située sous le toit, au-dessus de la console centrale. Une fois cette manipulation faite, l’ouverture et la fermeture se font électriquement, en moins de 10 secondes.
Les petites fenêtres arrière se baissent automatiquement à l’ouverture, mais il faudra en revanche penser à les relever manuellement à la fermeture. Et une fois la capote refermée électriquement, n’oubliez pas de refermer manuellement la poignée de plafond.
Trois voitures en une
Une fois ouverte, la Mustang devient à nouveau une nouvelle voiture, après le tranquille V8 américain fait pour cruiser et la rageuse sportive, vous voici au volant d’un Riva, vous savez, ces bateaux italiens des années 50 équipés de bons gros V8 américains, voire même de deux moteurs V8 sur le Super Aquarama. Comme sur un Riva, vous avez les cheveux aux vents, vous entendez le grondement guttural du V8 en prenant le soleil et vous décollez à chaque ouverture des gaz. Cette Mustang cabriolet a tout compte fait quelque chose de nautique, au fond.
La ligne du cabriolet décapotée est aussi réussie que celle de la GT Fastback, avec un côté élégant en plus. Petit bémol, une fois la capote repliée, il reste deux trous béants à l’arrière (voir notre photo). Pour combler ce vide, Ford a prévu deux appendices de plastique dur rangés dans le coffre arrière. Il suffit de les placer au-dessus des trous laissés par l’ouverture de la capote, ce qui donne une meilleure finition à l’ensemble, mais la pose de ces accessoires n’est pas très pratique à réaliser. En fait, il faut prendre le coup et insérer ces plastiques par le devant et placer ensuite l’arrière.
Le plastique c’est fantastique ?
Le plastique, il y en a quand même beaucoup dans cette Mustang 2018, comme sur les précédents modèles. On ne peut pas d’un côté proposer un tarif de 46 900 euros pour un gros V8 de 450 cv et de l’autre, l’accompagner d’une finition et d’une qualité à l’allemande, d’autant que comparée à la version précédente, la mouture 2018 a fait de gros progrès en matière d’assemblage et de finition. Ford a donc dû puiser dans son stock de pièces maison et installer des plastiques durs, qui certes ne respirent pas le luxe, mais qui participent au maintien global d’un prix contenu.
Les clapets de ventilation situés sur la planche de bord mériteraient tout de même d’être en aluminium, à notre humble avis, ce qui prolongerait le côté plus qualitatif du bas de console où se situent les commandes de type aviation. Capote ouverte, nous avons découvert une petite imperfection dans le joint situé en haut du pare-brise (voir notre photo). Mais une fois de plus, la Mustang reste aujourd’hui la seule voiture GT sportive à proposer un tel rapport prix/prestations, avec son excellent gros V8.
Le freinage
Pour stopper les 1893 kg de la GT convertible, 4 freins à disques équipent les roues de la voiture, pincés sur la version GT par des étriers Brembo à 6 pistons. Le freinage est efficace, même si comme sur la version précédente il n’est pas aussi brutal que sur une « vraie » sportive. Outre le freinage classique, la GT dispose également de l’assistant de pré-collision. Un système qui scrute la route en permanence, même la nuit, et qui vous informe d’un danger. En cas d’absence de réaction du conducteur, la voiture décide alors seule de freiner pour ralentir la voiture. Elle est équipée en plus d’une alerte de maintien des distances de sécurité et du système de maintien dans la voie, de série, en vous informant de la bonne tenue de cap au compteur, par le biais de lignes colorées.
Les pneus
Pour cette nouvelle version, Ford a équipé sa Mustang GT de pneumatiques Michelin Pilot Sport 4S qui remplacent les anciens Pirelli P Zero. Les dimensions restent inchangées : 255 x 40 x 19 à l’avant et 275 x 40 x19 à l’arrière. Avec une suspension améliorée et un excellent grip des nouveaux pneumatiques, la Mustang GT 2018 se balance moins, est plus stable et plus dynamique.
Et l’intérieur ?
L’habitacle de la Mustang 2018 reste fidèle au concept originel de 2+2. Deux places normales à l’avant + 2 petites places à l’arrière, séparées au centre, ce qui en fait une 4 places et non pas 5. Les places arrière sont un peu anecdotiques mais elles dépannent bien si vous devez emmener 3 passagers. En revanche, 2 enfants placés à l’arrière ne souffriront pas du manque de place.
À bord, la sono de série distille un son puissant et de bonne qualité. Pour renforcer la rythmique, un woofer a été placé à l’intérieur du coffre, sur le côté droit. Un coffre qui contient 332 litres, suffisant pour 3 personnes, à tasser si vous êtes 4.
Deux prises USB sont installées dans la console centrale : une dans l’accoudoir et l’autre en façade, très pratique pour recharger vos smartphones, d’autant que la GT est compatible avec les mobiles, notamment Samsung et Apple.
L’ergonomie est bonne, mais il faut un peu de temps pour trouver chaque fonctionnalité, comme le régulateur de vitesse, la sélection des modes de conduite ou le réglage de la sonorité des pots (qui s’actionne à partir du mustang placé à droite du volant).
Bilan
Inquiets du résultat esthétique de cette nouvelle GT à la découverte des photos constructeurs, nous avons été agréablement surpris du résultat de visu. La longue ligne basse est respectée, avec le capot long et plongeant, l’arrière court et les flancs creusés.
Avec une finition et une qualité de matériaux en nette amélioration, une suspension bien meilleure et un look sportif encore plus affirmé, la Mustang 2018 progresse tant en puissance qu’en sportivité, pour un prix qui en fait et de loin, le coupé sportif V8 le moins cher du marché automobile.
À noter que cette année, le montant du malus à ajouter au prix de la voiture : 10 500 euros, est le même, que vous optiez pour la version Ecoboost 4 cylindres de 290 cv ou le V8 de 450 équidés.
En boîte automatique, la version cabriolet 4 cylindres est vendue 45 900 euros (56 400 euros avec le malus) et le V8 cabriolet est affiché à 52 900 euros. Soit pour la GT modèle 2018 un chèque de 63 400 euros à débourser avec le malus. Un écart de budget de 7 000 euros pour accéder à la légende, qui peut nous interroger sur l’utilité du maintien au catalogue Ford, de la version « 4 pattes ».
FICHE TECHNIQUE FORD MUSTANG CABRIOLET GT V8 MODELE 2018
Dimensions : 4,78m x 2,00m x 1,38m
Poids : 1893 kg
Volume du coffre : 332 litres
Réservoir : 61 litres
Consommation de notre modèle d’essai : 20 litres aux 100 km en ville / 12 litres aux 100 km sur autoroute / 12,7 litres en moyenne sur notre essai
Moteur : V8 atmosphérique de 450 cv (puissance fiscale : 36 cv)
Couple : 529 Nm
Émission de CO2 : 279 grammes par km parcouru
0 à 100 km/h : 4,3s
Vitesse maximale : 250 km/h
Boîte de vitesse : automatique à 10 rapports
Cylindrée : 4 951 cm3
Notre galerie d’images
[Best_Wordpress_Gallery id= »419″ gal_title= »ford mustang gt v8 cabriolet 2018″]
Crédit photo : Alexis Pillon©
Fondateur du site MONSIEUR VINTAGE le 14 février 2014, Philippe est issu de la presse écrite automobile : Auto Plus, Sport Auto, Auto Journal, Décision Auto, La Revue Automobile et La Centrale. Il collabore également au magazine EDGAR comme responsable de la rubrique auto/moto.
-
Actu Vintageil y a 3 mois
Françoise Hardy : adieu à une icône de la chanson française
-
Autoil y a 3 mois
Alpine présentera sa citadine sportive 100% électrique au Mans demain 13 juin 2024
-
A la Uneil y a 3 mois
TRIUMPH BONNEVILLE T120 ELVIS PRESLEY : 75 exemplaires pour la France
-
Autoil y a 3 mois
Les 24 Heures du Mans : Une épopée de vitesse et d’endurance
-
Actu Vintageil y a 3 mois
Anouk Aimée : Une étoile du cinéma s’éteint
-
A la Uneil y a 3 mois
D-DAY : un 80ème anniversaire exceptionnel en Normandie
-
Actu Vintageil y a 3 mois
Benson and Cherry : une bonne idée cadeau pour la fête des pères
-
Motoil y a 3 mois
Pourquoi l’assurance moto est-elle incontournable ?